| Accès bancaire par
smartphone et données biométriques |
À tous, petits et grands, riches et pauvres, hommes libres et esclaves, elle fait mettre une marque sur la main droite ou sur le front, afin que personne ne puisse acheter ou vendre, s’il ne porte cette marque-là : le nom de la Bête ou le chiffre de son nom.
C’est ici qu’on reconnaît la sagesse. Celui qui a l’intelligence, qu’il se mette à calculer le chiffre de la Bête, car c’est un chiffre d’homme, et ce chiffre est six cent soixante-six."
Apocalypse, chapitre 13, 16-18
Accès
bancaire par smartphone
Les banques qui imposent aux clients un accès e-banking par smartphone n'ont pas de légitimité de l'expliquer par la nécessité de la sécurité, puisqu'elles s'appuient sur des systèmes sur lesquels elles n'ont aucune prise. Leur motif de sécurité est un leurre.
L'utilisation du réseau sans fil (antennes de téléphonie mobile, Wi-Fi,...), n'est pas sécurisée. Les données envoyées via de l'électricité dans l'air peuvent être interceptées par des tiers. D'ailleurs, des industries ont isolé leurs bâtiments contre les ondes électromagnétiques pour cette raison justement : se prémunir contre l'espionnage industriel. Elles utilisent aussi des câbles Internet blindés. Si les données transitant dans l'air n'étaient pas accessibles, elles n'auraient pas besoin de mettre en place ces infrastructures coûteuses.
Les SMS n'offrent pas de sécurité, ils transitent par le réseau mobile et ne sont pas chiffrés.
Seuls des logiciels libres (open source) sur des appareils fixes tournant sur Linux et connectés par câble offrent une protection des données satisfaisante.
Données
biométriques
Le piratage de ces
données est réel avec des conséquences qui sont un désastre
épouvantable pour la personne volée ! Usurpation d'identité pour
un crime, pour des vols, pour du trafic, etc. Il est très dur
pour la personne de prouver son innocence puisque les données
biométriques l'accusent, et elles sont dites si fiables,
n'est-ce pas ?
L'argument
sécuritaire est un miroir aux alouettes, un leurre, une
mystification.
On comprend qu'il
voile la véritable raison :
Les dictateurs de la centralisation mondiale numérique - ou
totalitarisme numérique ou encore esclavage numérique - veulent
absolument détenir les données biométriques de chaque être
humain de la terre entière et contrôler toutes les
communications par le réseau Internet, y compris évidemment
toutes les transactions financières. Ils le font par des
canaux différents allant de moyens sournois à la force :
L'obligation faite par les banques privées de fournir ces informations que les personnes ne donneraient pas d'elles-mêmes en est un. En effet, l'argent est un puissant moyen de contrôle. Ainsi, pour que les clients puissent accéder à leurs comptes personnels pour effectuer leurs paiements, ils subissent le chantage à l'accès e-banking.
En parallèle,
l'accès à l'argent liquide est de plus en plus entravé
: les bureaux de banque ferment, les bancomats sont
supprimés, le retrait au guichet d'argent liquide personnel,
de l'argent appartenant au client et souvent durement gagné,
devient compliqué et soumis à justification. Pourtant, cet
argent est propriété du client, non de la banque ! Cette
situation est très avancée au Royaume-Uni et en France.
En sus, la propagande incessante pour les paiements par smartphone comme TWINT, pour détourner les gens de l'utilisation du cash et en diminuer sa circulation. Toutes les transactions doivent à terme se faire numériquement, car on ne peut centraliser ni contrôler totalement les paiements en espèces.
Un autre moyen parallèle est l'identification numérique avec données biométriques, poussée par les gouvernements du monde entier : tout autant inacceptable.
"Toute la terre avait alors la même langue et les mêmes mots. Au cours de leurs déplacements du côté de l’orient, les hommes découvrirent une plaine en Mésopotamie, et s’y établirent. Ils se dirent l’un à l’autre : « Allons ! fabriquons des briques et mettons-les à cuire ! » Les briques leur servaient de pierres, et le bitume, de mortier. Ils dirent : « Allons ! bâtissons-nous une ville, avec une tour dont le sommet soit dans les cieux. Faisons-nous un nom, pour ne pas être disséminés sur toute la surface de la terre. » Le Seigneur descendit pour voir la ville et la tour que les hommes avaient bâties. Et le Seigneur dit : « Ils sont un seul peuple, ils ont tous la même langue : s’ils commencent ainsi, rien ne les empêchera désormais de faire tout ce qu’ils décideront. Allons ! descendons, et là, embrouillons leur langue : qu’ils ne se comprennent plus les uns les autres. » De là, le Seigneur les dispersa sur toute la surface de la terre. Ils cessèrent donc de bâtir la ville. C’est pourquoi on l’appela Babel, car c’est là que le Seigneur embrouilla la langue des habitants de toute la terre ; et c’est de là qu’il les dispersa sur toute la surface de la terre."
Genèse 11, 1-9